Des amies vous font partager leurs souvenirs et portent un regard positif sur l’avenir. Elles se baladent dans nos quartiers, visitent le Grognon, ses aménagements et parlent des initiatives pour améliorer notre ville, en regrettant les incivilités qui la déparent ; elles vous ouvrent aux bienfaits des plantes sur votre santé. Un peu de poésie avec des papillons, de l’évasion avec des récits de voyages. Un espace dédié au partage et à la découverte de soi et des autres au jour le jour.

mardi 29 novembre 2011

Histoires de nounours.

Pour les petits comme pour les grands a lieu à la Galerie du Beffroi à Namur, du 18 novembre 2011 au 8 janvier 2012, une ravissante exposition intitulée "Teddy Bear & Cie".

En cette période des fêtes, c'est l'occasion de se plonger dans l'univers des Nounours et de découvrir l'histoire de ces charmants oursons.

Vous y apprendrez que le premier ours en peluche du monde est sans doute celui créé en 1902 en Allemagne par Richard Steiff.

Et aussi que le Teddy Bear, version américaine, est né en 1903 aux Etats-Unis d'après une caricature de Clifford Berryman représentant le président Théodore Roosevelt refusant de tirer sur un jeune ourson qu'on lui présenta après une chasse infructueuse.

Bref, c'est l'occasion d'en apprendre beaucoup sur ce monde enchanteur.

Maryse

lundi 28 novembre 2011

Menus d'hier (2) - Banquet sur le S.S. France en 1928.

Les croisières étaient déjà fort prisées dans les années 1920-1930.

Et à bord, on pouvait manger royalement.

En témoigne le menu du diner d'adieu offert le 3 juillet 1928 à quelques personnalités belges à bord du S.S. France.







Mardi 3 juillet 1928

Ce paquebot français de la Compagnie Générale Transatlantique mis en service en 1912 cinq jours après le naufrage du Titanic assura la ligne Le Havre - New York jusqu'en 1932 mais à partir de 1927, il effectua des croisières en Europe.

Extrêmement luxueux, il fut surnommé le Versailles des mers.

Maryse

dimanche 27 novembre 2011

Connaissez-vous l'Aloe Vera ?

C'est une variété d’Aloès.
C’est une plante robuste, peu exigeante et fidèle. Ses qualités sont innombrables et très précieuses. Elle a une évolution curieuse, qui se rapproche très fort de celle des humains.
Elle ne fane pas, sauf en cas de très mauvais traitements. Elle se bouture facilement, grandit, s’affirme et, en vieillissant, se fripe comme un vieillard dans son fauteuil.
J’en avais reçu une pousse il y a 44 ans. Elle a déménagé avec moi plusieurs fois sans accuser de souffrance. Mais, ces temps derniers,  elle vieillissait visiblement, malgré mes soins.
En début de cette année, elle a cessé de boire, a jauni petit à petit ; toutes ses feuilles étaient  réunies en une boule frileuse, et j’ai compris que c’étaient les signes d’une fin prochaine. En effet, elle s’est éteinte doucement au printemps.  
Elle avait eu une nombreuse progéniture qu’au fil des ans  j’avais plantée  dans d’autres jardinières. Celles de vingt ans sont puissantes, volontaires, épanouies. Quant aux plus jeunes, elles ont une croissance lente, timide, mais on peut y voir la promesse d’une maturité intéressante.
Leur  cycle correspond vraiment au cycle de croissance et de vieillissement de notre humanité. C’est vraiment étrange, la vie d’une plante qui soigne l’homme dans beaucoup de ses problèmes.
Elle est actuellement fort utilisée dans bien des produits, notamment en cosmétique où elle s’avère très douce, reconstituante. On en fait des shampooings et crèmes de soin pour le corps et le visage.
Vous trouverez facilement et à peu de frais une bouture dans une jardinerie.
Cultivez-en une chez vous : elle vient à point pour soigner dans l’urgence les blessures, écorchures, coupures, brûlures de tous les jours.
Lorsque cela vous arrive, détachez délicatement une feuille bien charnue à sa base, coupez-la dans le sens de l’épaisseur de façon à atteindre la sève intérieure, une sorte de gel que vous appliquez directement sur l’endroit abîmé.
Je l’utilise souvent et notamment après extraction d’une dent. J’ai massé ma gencive avec ce gel,  l’hémorragie s’est arrêtée et la cicatrisation a été très rapide.
La douleur cesse aussitôt. Dans le cas de brûlures, vous éviterez ainsi les ampoules, une nouvelle peau se reconstituera en quelques heures.         Extraordinaire !
                                                                                       Monique
                 

jeudi 24 novembre 2011

L'Adverbe

Il n’est ni une préposition, ni une conjonction, ni une interjection.
Comme son nom l’indique l’ “ad-verbe” accompagne un verbe ou un autre adverbe pour en préciser le sens.
Exemples : en classe, il joue beaucoup,
                     ce pays est très vallonné.
Il peut aussi compléter un adjectif :
Exemple :  fort aimable.
Il peut être en un seul mot : aujourd’hui, ou en plusieurs : on parle alors de locution adverbiale.
Exemples : petit à petit , tout de suite, de bon matin…
Sa présence n’est pas obligatoire.
A retenir : , avec accent, est un adverbe tandis que ou, sans accent est une conjonction.
L’adverbe est le plus souvent invariable.  Voyez la différence : elle parle à voix basse (ici, basse est un adjectif et varie avec le nom qui le précède. Mais : elle parle bas (bas est alors un adverbe invariable)
Parfois, il se termine par « ment » : exemples : elle marche lentement,
                                                                                         ils vivent confortablement,
                                                                                         il parle clairement,
                                                                                         naturellement, il va à l’école.
Une exception : TOUT  est souvent invariable comme un autre adverbe…sauf s’il est placé devant un adjectif féminin commençant par une consonne ou un h aspiré
Exemples : ses mains sont toutes sales, ces fillettes sont toutes contentes.
Mais devant un adjectif commençant par une voyelle, tout reste invariable :
Exemple : la région tout entière participait à ces activités.
Les adverbes composés, comme les noms composés, sont réunis par un trait d’union.
Exemples : après-demain, tout-à-fait…
Quelques adverbes très courants : bien, vite, mal, volontiers, oui, certainement, beaucoup, moins, trop, non, jamais, nullement, hier, aujourd’hui, demain, peut-être, sans doute, probablement, dedans, dehors, loin, ici, là-bas…
En douze étapes, nous avons fait le tour de l’essentiel et espérons ainsi avoir pu vous aider.
Si vous voulez cependant en savoir plus, voici quelques adresses :
http://www.reverso.net : grammaire interactive et conjugaison. Navigue par thèmes – Parle aussi de ponctuation, d’accents, de cédilles, de majuscules et de traits d’union
www.synapse-fr.com/grammaire/GTM_O : très poussé, si vous avez du courage.
www.études-littéraires.com/grammaire.php : si vous avez envie d’écrire une œuvre littéraire
www.bonpatron.com : correcteur de grammaire : repère les erreurs d’orthographe et de grammaire en ligne.
www.bonjourdefrance.com/ index/indexgram.htm pour travailler la grammaire en ligne : cours et exercices intéressants mais un peut compliqué comme navigation ;
www.leconjugueur.com/frrèglesusuelles.php : toutes les règles de conjugaison.
Capacité de recherche et rapidité que n’avait pas le Bescherelle, cher à nos écoles primaires. Il s’en inspire mais en plus précis et complet.
                                                                                                                 Monique



Le Bon Usage de Maurice Grevisse fête ses 75 ans.

Le « Bon Usage»  de Maurice Grevisse fête ses 75 ans.

La Belgique francophone peut être fière de ses grammairiens.
Le plus connu de ces amoureux de la langue française est Maurice Grevisse.
Son  Précis de Grammaire française  a accompagné des générations d'élèves tout au long de leur scolarité. Dommage que l'on ait abandonné l'usage des manuels scolaires...

Maurice Grevisse est né le 10 octobre 1895 à Rulles, village gaumais que longe l'autoroute de Luxembourg. Il est décédé à La Louvière en 1980.
Il aurait dû reprendre la forge familiale, mais choisit la carrière d'instituteur.
 Il poursuit ensuite ses études pour devenir régent littéraire, puis docteur en philosophie et lettres, après avoir appris tout seul, le latin et le grec.
Il enseigne entre autres, à l'Ecole royale des Cadets à Namur.

Il élabore pour ses élèves un manuel de grammaire. Les grammaires existantes ne  lui pas satisfacsfaction.
Cet ouvrage prend de plus en plus d'ampleur et devient le "Bon Usage".
.Le manuscrit, refusé par de nombreux éditeurs, est finalement édité par Jules Duculot à Gembloux en 1936.

Maurice Grevisse s'appuie, avec rigueur et souplesse, sur l'usage réel qu'il observe chez les écrivains. Pour lui, une langue vivante n'est pas figée. En 1961, il est déjà partisan de la féminisation des noms de métiers !
André Gide considérait le" Bon Usage"  comme la meilleure grammaire française à son époque.
Pour Paul Robert, elle l'est encore maintenant (préface de la 11e édition en 1980).

André Goosse, gendre de Maurice Grevisse, professeur de linguistique française, poursuit l'oeuvre de Maurice Grevisse.
Et l'on fête en même temps, les 75 ans du «Bon Usage» et la parution de sa
quinzième édition.

Claire.




mardi 22 novembre 2011

Les conjonctions (suite)

Il existe aussi des conjonctions de subordination.
Elles relient deux éléments d’une phrase dont l’une est subordonnée à l’autre.
Ainsi la conjonction quand :
                Exemple : je viendrai te voir QUAND j’aurai plus de temps.

Ou encore, avec le même sens : Lorsque
                Exemple : Lorsque tu arriveras, je te saluerai.

Comme :   compare deux éléments, ou indique un moment particulier.
                Exemples : Elle a un teint délicat, COMME une rose de mai.
                                     COMME je suis venu, je reste.

Puisque : est une subordonnée de cause :
                Exemple : Puisque tu es là, faisons ce travail ensemble.

Que ou qu’ : introduit une subordonnée circonstancielle.
                Exemple : Il ne pourra venir QUE jeudi

Quoique ou bien que mettent  deux idées en opposition.  Elles nécessitent  l’emploi du verbe au subjonctif.
                Exemples : Quoi qu’il  (ou bien )  ait raté ses études, il est devenu un redoutable homme  d’affaires.

Si : émet une condition, ou une hypothèse.
                Exemples : Si tu travailles bien, tu réussiras.
                                    Si tu es courageux, montre-le.

Quelques autres conjonctions de subordination :
                Celles de but : pour que, de manière que, en sorte que, pour que, afin que, c’est pourquoi, de façon que.
                Celles de cause : lorsque, alors que, tandis que, dès que, à mesure que, après que, depuis que, chaque fois que, avant que, durant que…
                Celles d’opposition, de restriction, sans que, au lieu de, malgré que, bien que,  en admettant que, encore que, même si, plutôt que, sauf que…
                Celles de temps : au moment où, chaque fois que, dès que, lorsque, pendant que…
                Celles de comparaison : comme, ainsi que, de même que, d’autant plus que, autrement que, moins que, plus que, plutôt que…
                Celles de condition : si, à condition que, supposé que, au cas où,  à moins que, pourvu que, sinon, suivant que, moyennant que…

Mais je les ai répertoriées  pour vous aider dans une éventuelle rédaction de texte. Sinon, ne vous faites pas de soucis, retenez seulement qu’elles sont toutes invariables.
                                                                                                                                                             Monique.

Surprises au jardin !

Le temps particulièrement clément de ce mois de novembre apporte des surprises.

Un petit tour au jardin et voilà que je découvre que  le cognassier du Japon s'est mis à fleurir !



Décidémént, les saisons ne sont plus ce qu'elles étaient.

Et les roses aussi  sont de la partie. Plus question de s'incliner pour humer leur parfum, il ne s'agit que de boutons mais c'est surprenant.


Alors pourquoi résister au plaisir de composer un joli bouquet.

Et puisque les rosiers sont si généreux, pensons aussi que c'est le moment idéal pour en planter quelques uns. On ne se lasse jamais de leur beauté.

Roses "Pierre de Ronsard", "Bouquet parfait", "Sweet dream", "Porcelaine de Chine", ... autant de noms qui font rêver.


Maryse

lundi 21 novembre 2011

La conjonction

Définition du dictionnaire: outil qui fait la liaison entre deux mots, entre deux phrases, entre deux propositions de même nature. Elle est invariable (pour une fois, sans exception)

Il en existe de plusieurs catégories dont la plus courante est la conjonction de coordination : souvenez-vous de cette phrase que l’on vous faisait répéter à l’école : et, où, ni, mais, car, or, donc.
                Reprenons-les en détail :
Et : quand la conjonction ET coordonne plusieurs éléments, elle n’apparaît qu’avant le dernier :
 Exemple : Pour les vacances à la mer,  la petite fille emporte un seau, une pelle, un râteau ET sa poupée chérie.
Cette conjonction ET entraîne automatiquement le pluriel : Jean ET Marie sont en vacances.
Ou : donne une idée de sélection, de choix entre plusieurs éléments, (comme le ET, elle se place juste avant le dernier mot)
Exemple :   Que veux-tu faire, travailler, jouer OU dormir.
Remarquez qu’en tant que conjonction le OU ne prend pas d’accent sur le U. (Où avec accent indique un lieu, mais ce n’est plus une conjonction.)
On peut remplacer la conjonction OU par SOIT mais alors, il doit être répété avant chaque élément :
Exemple : Tu boiras, SOIT  du vin, SOIT de l’eau, SOIT un jus de fruits.
Ni : indique une exclusion et doit être répétée avant chaque élément.
Exemple : je ne mange NI viande, NI poisson.
Mais : indique une opposition entre deux éléments de même nature ou de même fonction.
Exemple : Patricia est jolie MAIS entêtée.
Les éléments coordonnés par la conjonction MAIS peuvent être des mots, des propositions ou des phrases :
Exemple : il entend tout MAIS ne répète rien.
Parfois, elle sert à surenchérir : MAIS que vous êtes joli, MAIS que vous êtes beau…
Donc et Car : chacune de ces deux conjonctions donne une idée de cause entre deux éléments de même nature.
Exemples : La météo nous annonce un début d’hiver, DONC je prends mon pull.
                      Je prends mon pull CAR la météo nous annonce un début d’hiver.
Souvent, les éléments coordonnés par ces deux conjonctions sont des propositions ou des phrases.
Or : son utilisation est assez floue, mais souvent proche de la conjonction MAIS.
Exemple : c’était un élève modèle, OR  il ne fait rien de sa vie.
Elle ne peut relier que deux éléments et se place devant le deuxième.
 Elle est toujours précédée d’un signe de ponctuation, point ou virgule, pour séparer les deux éléments.
                                                                                                                                                             
Nous verrons les conjonctions suivantes dans un  prochain post.            A bientôt.  Monique

samedi 19 novembre 2011

Menus d'hier (1) - Menu en 1896.

Les fêtes de fin d'année se profilent et déjà nous pensons à ce que nous allons préparer pour nos invités.

Composer un menu n'est pas une mince affaire, si on peut dire. C'est même souvent un vrai casse-tête avant de finalement trouver la bonne recette à se lécher les doigts.

Pour avoir des idées, les livres de cuisine sont parfois d'un grand secours.

En fouillant dans ma bibliothèque, j'ai retrouvé un guide culinaire publié en 1950 ainsi qu'une collection de menus anciens dont la lecture en dit long sur la composition des menus de fêtes il y a plus de 100 ans.

Je ne résiste pas à l'envie de vous les faire goûter.

Faisons donc ensemble un petit retour dans le passé.

Pour commencer, je vous propose un menu servi en 1896 qui montre à quel point il fallait un bon estomac pour supporter l'avalanche de plats.



collection privée


Vous ne trouvez pas que c'est un peu trop copieux ?

Bon appétit quand même.
                                                                  Maryse

vendredi 18 novembre 2011

Honte aux humains !

Honte à ceux qui tuent.
Double honte à ceux qui tuent les plus faibles : vieillards, femmes, enfants, animaux.
Triple honte à ceux qui martyrisent pour le seul plaisir barbare de faire souffrir.

Aucun animal ne tue par sadisme. Ils tuent seulement pour se défendre, ou s’ils ont faim et trouvent une proie pour se rassasier.
Cette cruauté sans nom et sans raison appartient seulement aux humains.

Ainsi ceux qui ont martyrisé à mort ce pauvre cheval, à Yvoz Ramet.
J’entendais ce matin à la radio la réaction indignée d’un auditeur qui trouvait qu’on devrait leur infliger dix ans de prison.
D'accord, mais facile à dire : les prisons sont surpeuplées et les tribunaux voient s’amonceler les dossiers en attente

Et puis, encore faut-il les attraper et les confondre : il se trouvera bien un avocat pour plaider non coupable, vice de forme, prescription ou un juge pour accorder les circonstances atténuantes.

Souhaitons-leur au moins de prendre conscience de la brutalité qu’ils portent en eux, de leur amener du remord et des cauchemars tout au long de leur vie. C’est notre seul espoir de justice.
                                                                                                  Monique

dimanche 13 novembre 2011

Tapis rouge au jardin.



Depuis quelques jours, je me rends compte à quel point mon jardin est en train de changer.

L'automne bien installé en a métamorphosé le décor et l'atmosphère.

La lumière du jour commence à pâlir, les couleurs sont un peu moins éclatantes et un léger courant d'air frais fait voltiger les feuilles des arbres.

Un tapis rouge orange recouvre peu à peu les sentiers.

Cette saison n'est pas pour me déplaire. J'aime en effet écouter le crissement des feuilles sous mes pas.

"Les feuilles mortes se ramassent à la pelle " dit-on dans la chanson.

Pourtant, j'en laisserai en petits tas ici ou là afin de protéger certaines plantations.

Car bientôt, le jardin sera endormi.

Mais l'hiver y apportera aussi sa touche de poésie.

                                                                             Maryse

vendredi 11 novembre 2011

Pinocchio et Cie.


La maison de la Culture à Namur nous propose une exposition d'œuvres d'artistes contemporains.

Leurs peintures, sculptures, photos, vidéos et installations font référence aux inusables contes de fées. Nous retrouvons là Pinocchio, Blanche-Neige, la Belle et la Bête, le Petit Chaperon rouge, Hansel et Gretel etc.

Mais attention ! Ces œuvres ne s'adressent pas aux petits enfants, à qui ces contes sont traditionnellement destinés. Ils sont ici illustrés pour les adultes, colorés de poésie, d'humour ou de cruauté. D'une certaine perversité aussi.

Citons par exemple, l'univers onirique des photos de Karen Knorr qui photographie des musées, des châteaux habités uniquement par des animaux empaillés. Ou les très beaux portraits des enfants du pays imaginaire de Katia Bourdarel.

Pourquoi les sorcières, fées, reines, géants, monstres... inspirent-ils encore les plasticiens du vingt-et-unième siècle ? Parce que le conte de fée demeure, comme le dit le professeur d'histoire de l'art, Olivier Duquenne, « ce miroir magique que se tendent indéfiniment les hommes, pour tenter de comprendre le monde et peut-être surtout eux-mêmes.»

Claire.
                        
  

Accord du Participe passé

Accord du participe passé.
Le participe passé, sans auxiliaire, prend la forme d’un adjectif et s’accorde en genre et en nombre avec le nom ou le pronom auquel il se rapporte.
Exemples : des immeubles cossus   mais des maisons cossues.
Le participe passé avec l’auxiliaire être s’accorde en genre et en nombre avec le sujet du verbe.
Exemples : mes amies sont désœuvrées
                      Leurs  enfants sont mariés
Le participe passé conjugué avec l’auxiliaire avoir reste invariable en général
Exemples : il a bâti sa maison
                      Elle a arrangé ces fleurs dans le vase
                      Les enfants ont joué au ballon
 sauf si son complément d’objet direct est placé avant.
Exemple : cette maison, il l’a bâtie.
Il y a cependant quelques exceptions pour lesquelles une grammaire plus poussée peut vous aider. Mais ce n’est plus notre propos car nous avons promis de rester dans des généralités.

jeudi 10 novembre 2011

Nos amis nous soutiennent...

Bravo à toutes les mamuroises.
C'est merveilleux que vous ayez un site pour vous exprimer.
Et c'est merveilleux pour les autres que vous l'utilisiez pour faire appel à la solidarité et nous faire profiter de votre sagesse.
Donc merci à vous et à tous ceux qui vous ont aidées à créer le site. Nanou
********************************
,BonjourJ’ai
 été consulter votre blog. Bravo pour cette initiative. Nous restons à votre entière disposition pour toutes informations complémentaires. 
Très cordialement, Nicolas Pourbaix,
*******************
Bonjour Monique,

MAGNIFIQUE ! Ce site est tout simplement magnifique et j'adore !
Je vous souhaite à toutes longue vie et ne manquerai pas de le parcourir
régulièrement.

Bon dimanche

Carine
**********************
Bravo aux Super-Mamuroises !!!

Bien amicalement,
Gilbert
**********************
Félicitations Monique; je vais transmettre à mes connaissances, et peut être sait-on jamais m’y intéresser plus personnellement un jour. Hélas dans l’immédiat je suis fort sollicitée par un de mes petits fils pour la garde etc…..d’ailleurs j’ai dû abandonner l’aquarelle par manque de temps aussi.
Bonne chance pour votre excellente idée. Qui ???
*********************
Bonjour Monique,
Félicitations, que voilà de la belle ouvrage, comme on dit. C'est super votre réalisation et vos projets.
 Bonne continuation et bon vent à vous toutes.

Monique et Emile

merci Monique, désolée pour le retard de ma réponse mais je reviens de Rome. Je garde ton blog sur Namur dans mes favoris. A bientôt.
Josiane

Merci d'avoir pense à moi ... c'est très chouette.
Love,
Domi (Hawaï)
On Sep 10, 2011, at 9:28 AM, interlignes..editions@base.be wrote:

Merci à eux tous pour ces encouragements : Toutes les Mamuroises.

Le Complément

Il a pour fonction de « compléter » le sens d’un autre mot.
Il peut être un mot ou une proposition comme : un paysage plein de poésie.  Il s’agit ici d’un complément de l’adjectif plein.
Il peut être aussi le complément d’un nom  comme : la voiture de mon frère

Ou un complément d’objet direct  ou complément du verbe
Le complément d’objet direct se joint au verbe, directement, sans préposition, pour en compléter le sens comme dans : Maman nous lit une histoire.
Pour reconnaître le complément d’objet direct, il suffit de poser, après le verbe, la question qui ou quoi :  ( Maman nous lit quoi ? Une histoire.)   Le complément, ici, est un nom
Ou encore dans : Marie mange un gâteau.

Mais il peut être aussi un pronom comme dans : elle le déguste. (elle déguste quoi ? le qui représente le gâteau.)

Il peut être aussi une proposition comme dans : elle espère qu’elle en recevra un second. Elle espère quoi ? qu’elle en recevra un second.

Ou encore un verbe à l’infinitif : elle adore manger  (elle adore quoi ? manger)
Il est très important de savoir dépister ce complément d’objet direct car il influence l’accord du participe  passé que vous verrez dans un prochain post.
Vous trouverez encore une autre forme de complément   : le complément d’objet indirect.
Il a pour fonction lui aussi de compléter le sens du verbe, mais est introduit par une préposition.
Il représente ce qui reçoit l’action faite par le verbe.

Il répond, lui, à la question : à qui, à quoi, de qui, de quoi, avec qui, avec quoi, contre qui, contre quoi ? Comme dans : elle abuse de son pouvoir (elle abuse de quoi ? de son pouvoir)
Comme le complément d’objet direct, il peut être un nom, un pronom, une proposition.
Parfois un verbe peut avoir plusieurs compléments : un d’objet direct et un d’objet indirect par exemple : j’ai offert un disque à mon ami (offert quoi : un disque (offert à qui : à mon ami)
Un autre complément du verbe est le complément circonstanciel : il complète le verbe en lui apportant une précision sur les circonstances de l’action et répond à une question où, quand, comment, pourquoi, avec qui, avec quoi :
 Exemple : nous nous promenions le long du fleuve,
                    il s’en ira après les vacances
Il peut souvent être supprimé sans vraiment nuire à la phrase : nous nous promenions…il s’en ira…
On trouve encore, en grammaire, le complément d’agent comme dans : la péniche est dirigée par le capitaine. L’agent étant introduit ici par la préposition par.

Une Mamy pas contente

                   Voilà la raison laquelle je ne suis pas contente : ce matin je suis allée au magasin faire mes courses et  acheter des sacs poubelles. Là, imaginez ma stupéfaction quand la caisière m'a dit le prix pour 10 sacs poubelles.

Là non,  je n'en pouvais plus mais ou allons nous ? 12 euros pour 10 sacs c'est inadmissible, quand dans les grandes surfaces vous payez 1,60 pour 25sacs.

Et ce n'est pas tout,  car il ne faut pas oublier que l'on paye la taxe annuelle pour poubelles et pour clôturer ce petit mot,  que les éboueurs passent frapper à notre porte pour leur dringuelle en fin d'année.....Si je compte bien, on paye 3 fois pour le même service et puis on s'étonne des poubelles sauvages. C'est vrai que belges et bons  commencent par la même consonne.
                                                                                                                                   Josée

Coup de coeur

Je remercie toutes les personnes qui dès le matin quand je vais promener mon chien Hamlet me gratifient d’un bonjour et d’un beau sourire,  que je leur rend,  bien évidemment
Vous ne pouvez imaginer l’effet que cela fait. Cela me donne du peps et je sais déjà que je vais passer une bonne journée.
Un sourire, un mot gentil ne coûtent rien.

Et la personne  âgée ou isolée a, ainsi, eu le premier contact d'une journée qui en sera ensoleillée.
Par mes promenades au parc Louise-Marie, je me rends compte que beaucoup de gens souffrent de solitude.
Donc, encore merci de dire un bonjour souriant à toutes les personnes que vous croisez même si elles n’ont pas toujours, elles, le cœur à sourire.
A bientôt

Germaine

dimanche 6 novembre 2011

Accord du verbe

Le verbe s'accord en nombre avec le sujet qui fait l'action, qu'il soit mentionné ou sous-entendu.
Exemple : le chat joue avec une balle
                les enfants rient, courent et chantent

S'il y a plusieurs sujets, le verbe se met au pluriel :
Exemple  : les chiens et les chats sont souvent ennemis.

Toutefois, le verbe ne marque pas le genre (masculin ni féminin)
Exemple : le chien mange sa pâtée
                la chienne mange sa pâtée.

Si les sujets ne sont pas de la même personne :

la priorité est donnée à la première personne sur la seconde
Exemple : Jean et Jeanne sont allés promener

La deuxième personne l'emporte sur la troisième
Exemple : Toi et Martine êtes allés en excursion avec l'école (vous 2ème personne)

                                                                Monique

samedi 5 novembre 2011

Un Noel presque parfait...

Les amateurs de brocante pourront visiter, le mercredi de 9 à 15 heures, le marché de Noël de l'Opus 7 et faire provision de décorations pour compléter leur ambiance de fête.

Rappelons l'adresse : 249, Route de Gemboux à St-Servais (juste en face de la piscine).

Pour autant que la météo le permette car, comme il s'agit d'un local très humide et impossible à chauffer, nous devons cesser toute activité dès que la température descend au-dessous de 8°.
Noël est encore loin mais...soyez prévoyants avant la fermeture d'hiver.                       Monique

Le ballet des oiseaux.


En ce moment dans mon jardin,les oiseaux sont à la fête : ça pépie, ça volette, tout n'est que bruissements d'ailes.

D'arbustes en arbustes, c'est un véritable ballet pour les mésanges, les moineaux, les merles. Ils se régalent des derniers fruits du chèvrefeuille, des baies rouges du pyracantha, des baies noires du lierre.

Au pied du pommier, les pommes tombées font le bonheur des plus gourmands.

Mais bientôt, quand la nature sera au repos, il faudra s'occuper de ce petit monde ailé.

Alors, quelques graines de tournesol sur l'appui de fenêtre et dans les mangeoires ou encore des boules de graisses suspendues aux arbres feront fondre les oiseaux venus d'on ne sait où.

Déjà je crois qu'ils prennent leurs repères.

Chut... , ne les dérangeons pas.

Maryse

mardi 1 novembre 2011

L'adjectif

Qualifie et complète le nom ou le pronom auquel il se rapporte.
Il s’accorde en genre (masculin ou féminin) et en nombre (singulier ou pluriel) avec le mot qu’il qualifie.
Exemples : une femme élégante – un petit garçon – des  hommes  intelligents.
S’il se rapporte à plusieurs noms, il se met au pluriel et prend le genre (masculin ou féminin) du nom le plus proche.
Exemple : une voiture et un vélo usagés.
Règle générale :  Pour se former, au féminin, les adjectifs, comme les noms, prennent un e par rapport au mot masculin.
Exemples : joli-jolie,  fier- fière, (remarquez ici l’accent grave sur le e intermédiaire)
Sauf, bien entendu, s’ils se terminent déjà par un e au masculin comme honnête, tendre…qui ne changent pas.
Lorsque le masculin se termine par une consonne, celle-ci est souvent doublée au féminin :
Exemples : cruel-cruelle,  gentil-gentille,  mortel-mortelle,  visuel-visuelle…, ancien-ancienne, chrétien-chrétienne, mignon-mignonne,  paysan-paysanne.
Mais comme pour les noms, les exceptions sont nombreuses, d’où la difficulté de la langue dont se plaignent les étrangers en apprentissage.
Exceptions  les plus courantes :
Adjectifs masculins  se terminant en eau transforment leur terminaison en elle :
Exemples :   nouveau – nouvelle,  jumeau, jumelle…
Adjectifs masculins  se terminant en i ou en o prennent un te au féminin :
Exemples : rigolo – rigolote,  favori, favorite.
Adjectifs masculins  se terminant en ot ou en et doublent la consonne finale :
Exemples : sot- sotte, coquet – coquette…
Adjectifs masculins se terminant en s deviennent sse :
Exemples :   gros – grosse,  gras – grasse,  bas-basse,  épais – épaisse,  métis – métisse
Adjectifs masculins terminés par eur deviennent euse
Exemples : rieur-rieuse, charmeur-charmeuse, trompeur-trompeuse.
Mais d’autres, se terminant également en eur peuvent changer leur finale en trice :
Exemples : animateur-animatrice,  opérateur-opératrice,  créateur-créatrice, protecteur-protectrice…
Exceptions encore : andalou devient andalouse – esquimau devient esquimaude – maître devient maîtresse,  traître devient traîtresse – hébreu devient hébraïque.
 Remarquez encore  que l’on dit frais – fraîche.

Il en est d’autres qui pourront faire l’objet d’un article tout entier. Mais comme ce sont des cas particuliers, nous les reprendrons quand les généralités vous seront familières. Entre-temps, vous avez toujours la possibilité de recourir à un dictionnaire, notamment dans votre ordinateur.
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Ne craignez pas de vous en servir.   Monique