Des amies vous font partager leurs souvenirs et portent un regard positif sur l’avenir. Elles se baladent dans nos quartiers, visitent le Grognon, ses aménagements et parlent des initiatives pour améliorer notre ville, en regrettant les incivilités qui la déparent ; elles vous ouvrent aux bienfaits des plantes sur votre santé. Un peu de poésie avec des papillons, de l’évasion avec des récits de voyages. Un espace dédié au partage et à la découverte de soi et des autres au jour le jour.

lundi 31 mars 2014

Une journée de printemps à Amsterdam. Visite du Rijksmuseum.

Amsterdam, ce n'est pas si loin et par une belle journée de printemps , le voyage en vaut la peine.

Amsterdam est l’une des villes les plus extraordinaires du monde. De ses canaux à ses musées mondialement célèbres en passant par ses multiples richesses historiques, elle est l’une des capitales européennes les plus romantiques et les plus surprenantes.


But de la journée, une visite du Rijksmuseum.


Après dix années de travaux, le prestigieux Rijksmuseum  a rouvert ses portes en 2013.

Avec ses tours de briques rouges et ses toits pentus qui surplombent le vieux centre de la ville, le musée est impressionnant par son volume.

Il compte quatre niveaux au total, soit 1,5 km de parcours à partir des deux cours intérieures, devenues atriums à verrière, reliés en sous-sol par la billetterie et coupés par une voie centrale en surplomb, où  peuvent passer les vélos.

Aujourd'hui, ce sont 8 000 peintures et objets d'arts dans 80 pièces qui racontent les huit siècles de l'histoire des Pays-Bas.

Par-delà  ses Rembrandt et ses  Vermeer, ce musée, un des dix plus grands du monde regorge d'innombrables merveilles et surprises.

Maryse

samedi 29 mars 2014

Le spleen de Hao Hao













Mais on s'inquiète aussi. Car Hao Hao, après avoir dégusté ses bambous, s'ennuie dans sa solitude et pique une petite crise de mélancolie.

Pour la distraire de son "mal du pays", les soigneurs avaient imaginé de placer, dans son enclos, un poste de télévision.

Mal leur en a pris : ils ne s'attendaient pas au show télévisé de Bart De Wever  à Anvers.
A

 Les Anversois ont bien ri en le voyant, mais notre Hao Hao, elle, est tombée carrément amoureuse de ce panda surprenant qui pouvait changer de tête à volonté.

Et la voici en pleine dépression


Quelqu'un d'entre vous pourrait-il nous donner un remède au panda's blues ?


En attendant que Hao Hao retrouve son bonheur grâce à l'admiration de ses visiteurs dès avril.
                                                                                                       Monique

lundi 24 mars 2014

La Royale Moncrabeau et ses Molons - Exposition à la Bibliothèque communale de Namur.

Fondée officiellement en 1843, la Royale Moncrabeau est probablement la société folklorique la plus ancienne de Wallonie.

Son premier directeur musical, le musicien aveugle Nicolas Bosret, a joué un rôle déterminant dans l'organisation et les orientations de la société composée des " Quarante Molons ".

L'orchestre est d'une grande originalité avec des instruments anciens mais aussi des mirlitons aux formes bizarres, des instruments cocasses et des instruments modernes.


Le principal morceau de son répertoire est bien évidemment " Li Bia Bouquet ", chant officiel de la ville de Namur.

Le char des Quarante Molons ferme traditionnellement la marche de tous les évènements folkloriques organisés à Namur.

La devise des Molons, c'est la philanthropie et le service envers les pauvres.

En 2013, la Royale Moncrabeau a fêté son 170ème anniversaire.

C'est toute son histoire qui s'expose jusqu'au 7 avril 2014 à la Bibliothèque communale de Namur, Venelle des Capucins, 6.

L'occasion de se rappeler l'histoire des Molons, en préambule à la journée du folklore qui se tiendra le 19 avril prochain sur la place d'Armes de Namur.

Maryse

jeudi 13 mars 2014

Paroles de Poilus

C'est l'année de la Commémoration de la Grande Guerre.

Le service Culture de la Province de Namur vous propose un spectacle :

                                                         Paroles de Poilus




Une guerre, celle de 14-18
Des lettres, des témoignages, des vies...
De l'amour, du devoir, des espoirs...
De l'horreur, de l'absurde, de la mort...

               Un doux murmure de la condition humaine.

 

Mercredi 2, jeudi 3, Vendredi 4 avril 2014 à 20 h 30.



Escholle Dominicale pour les Pauvres
Rue Rupplémont, 20 à Namur

Réservations : 081.77.68.09
Entrée : 8 €

Mise en scène Philippe Vauchel.

Avec Laetitia Avenière, Alain Azarkadon, Christian Carly, Thomas Dewaele, Florence Halleux, Fabien Jacques, Miguel Lamoline, Anne Lefèvre, Véli Noka, Claude Robyt, Josiane Wilem
.

Le cri du huard sur la lac à la tombée du soir

Entre rires et attendrissement, avec parfois une petite pointe d'amertume, Philippe Vauchel, avec la présence en scène qu'on lui reconnaît; égrène et fait partager à son public ses souvenirs d'enfant de chez nous, vide son sac et règle ses comptes avec la vie.

Nous pensons souvent comme lui, mais lui a le talent pour le dire !

Son titre :" Le cri du huard sur le lac à la tombée du soir".

Chaque soir à 19 h 45 jusqu'au 29 mars

Les billets sont en vente au théâtre de Namur.

Philippe vous donne rendez-vous, rue du Président, en face du magasin de jouets, tout simplement dans la rue.

Il vient vous accueillir et vous emmène dans la salle de l'Escholle dominicale des Pauvres, 20, rue Rupplémont.

Après le spectacle, un petit bar est à votre disposition pour continuer la soirée et permettre à chacun de communiquer avec le comédien. Jusqu'à 23 heures.
Bon amusement.                                                           Monique

mardi 11 mars 2014

LA PHRASE DE L'ANNEE

 DITE PAR LE PRIX NOBEL DE MÉDECINE _(eloncólogo brasileño Drauzio Varella).

>
> "DANS LE MONDE ACTUEL, ON INVESTIT CINQ FOIS PLUS EN MÉDICAMENTS POUR

> LA VIRILITÉ MASCULINE ET EN SILICONE POUR LES FEMMES, QUE POUR LA

> GUÉRISON DE L'ALZHEIMER. 

> D'ICI QUELQUES ANNÉES, NOUS AURONS DES VIEILLES AUX GROS SEINS

 > ET DES VIEUX AUX PÉNIS BIEN RAIDES, MAIS AUCUN  D'ENTRE EUX NE SE 

 >SOUVIENDRA À QUOI ÇA SERT."

                                                                                Monique



lundi 10 mars 2014

Le quart d'heure de Rabelais.

François Rabelais, médecin, prêtre et écrivain de
la Renaissance, ne laissa pas son siècle indifférent.
Son humour, ses appétits de bon vivant et ses critiques
acérées lui attirèrent souvent les foudres des puissants
dont il s'échappa par d'agiles pirouettes et grâce à une
intelligence hors du commun.

Il se trouva un jour à Lyon, sans plus un sou et souhaitant
rentrer chez lui à Paris.
Comment faire ?

Lui vint alors une idée surprenante.
Il "emprunta" plusieurs petits sachets à son logeur et les
remplit de sucre. Ensuite, sur chacun des sachets, il écrivit :

                "Poison pour le Roi".

Volontairement, il laissa les sachets en évidence dans sa
chambre et le résultat ne se fit pas attendre.

Il fut dénoncé et des gens d'armes vinrent l'arrêter afin
de le conduire à Paris pour qu'il soit jugé. L'aubergiste
n'oublia pas de leur remettre sa note, dans l'espoir de
recouvrer sa créance un jour ou l'autre.

On avertit le Roi François 1er que Rabelais voulait
l'empoisonner.


Puis, dans les heures qui suivirent, on
découvrit la supercherie.


Convoqué par le Roi pour s'expliquer, Rabelais lui
expliqua sa situation et sa ruse.


Le Roi rit tellement de cette histoire qu'il accepta
 de bonne grâce de régler la note de l'aubergiste de Lyon.

Ainsi serait née l'expression "Le Quart d'Heure de Rabelais",
instant délicat du règlement d'une dette alors que l'on se
trouve sans argent.


                                                                   Monique

Grand Feu de Bouge 2014.

Sous les applaudissements d'une foule enthousiaste, le bonhomme hiver est passé en quelques minutes à peine de vie à trépas. Mieux qu'en 2013 ! Il avait alors fallu attendre 3h15 du matin pour que le bonhomme succombe aux flammes.


Cette année, une météo exceptionnelle y est sans doute pour quelques chose. L'hiver est-il bien fini ?

Maryse







dimanche 9 mars 2014

La Halle au Beurre

Namur possédait, avant la construction de ce qui est devenu la Place Maurice Servais, et qui s'appelait alors la Place du Four,  un grand bâtiment rectangulaire, la Halle au Beurre.
Il était surmonté d'une verrière qui amenait la lumière du jour aux étals des marchands de produits de leurs exploitations. Le beurre tout frais, les œufs de la semaine, les légumes de leurs jardins, les fruits de leurs vergers et quelques boucheries et charcuteries qui complétaient les besoins des ménages.

Elle était occupée tous les samedis, apportant un complément aux nombreux petits commerces établis dans ce quartier fort peuplé.

Le bâtiment mesurait environ 15 mètres en largeur et occupait en longueur l'actuelle place, bien connue de tous les Namurois.
Il jouxtait, à gauche, les Etablissements Marcq-Gérard (quincaillerie et outillage). Et s'ouvrait, côté rue des Fossés-Fleuris, par une grande porte métallique.
A sa droite, l'étroite rue du Four, disparue dans les travaux d'assainissement et d'urbanisme qui ont précédé la construction de la place actuelle,  avec ses magasins modernes et ses appartements confortables.

Je crois me souvenir que ces travaux se sont terminés entre les années 1948 et 1950.

Lorsque la guerre amena, en 1940, des escadrilles de Stukas pour bombarder la ville, les habitants, lors des alertes, se réfugiaient dans les caves de la Halle.

La verrière souffrit beaucoup de ces attaques aériennes, et puis les privations de la guerre rendaient l'endroit inutile. 

Les produits des fermes étaient, soit réquisitionnés par l'occupant, soit sévèrement rationnés, soit encore vendus au "Marché Noir" et leur exposition ne se justifiait plus.  La Halle fut donc fermée, par prudence, et le resta jusqu'à sa démolition.
Peu de personnes se souviennent encore de ce petit quartier populaire.

Namur était tout autre, alors. 

C'était la douce ville de mon enfance !   

                                                                 Monique

mardi 4 mars 2014

Le tricot urbain arrivera à Namur en novembre prochain.

Le tricot urbain ou Yarn Bombing arrivera à Namur à l'automne prochain.

Apparu aux Etats-Unis en 2005, le Yarn Bombing est au tricot ce que le graffiti est au Street Art. Il s'agit en effet de recouvrir le mobilier urbain de pièces tricotées pour mettre de la couleur dans la vie des citadins. Ce type d'art de la rue s'est développé un peu partout dans le monde.




A l'initiative du service Culture de la Ville de Namur, une opération tricot est lancée, notamment au travers de cafés tricot/thé ou groupes de tricoteurs. Des activités autour de la maille seront également organisées dans les écoles et les plaines d'été.

On peut aussi s'investir en déposant ses pelotes, ses restes de laine dans les bacs prévus à l'hôtel de Ville, au musée archéologique et à la galerie du Beffroi.

Les tricots recouvriront la ville en novembre et seront ensuite reconvertis en plaids pour être distribués aux sans-abris.

Alors, à vos tricots.

Maryse