Les Mamuroises sont bouleversées par l’épouvantable drame de Sierre.
Par la pensée de ces petits qui revenaient joyeux d’une merveilleuse aventure au sein de l’espace blanc, de la découverte d’un nouveau sport, de leur fierté pour les performances sans doute qu’ils n’auront pas l’occasion de raconter à leurs familles.
Beaucoup d’enfants, de par le monde, meurent chaque jour de faim, de la guerre et des bombardements, de la cruauté des hommes, de la maltraitance.
Mais malgré notre pitié pour tous les petits qui souffrent, ceux-ci sont nôtres et notre peine est encore plus grande.
Mais malgré notre pitié pour tous les petits qui souffrent, ceux-ci sont nôtres et notre peine est encore plus grande.
Nous pensons à leurs classes vides, à l’incompréhension de leurs condisciples, au chagrin de leurs enseignants.
Etant mères et grand-mères, notre cœur saigne à la pensée de l’angoisse des parents qui ont dû partir, sans nouvelles, sans savoir ce qu’ils allaient trouver sur place.
Au nom de toutes les Mamuroises : Monique
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